un petit trio estival pour ne pas perdre les bonnes habitudes :
il s'agit du 5ème nocturne de Mozart
(on ne change pas une recette qui gagne)
Nous chanterons en italien, puisque c'est Metastasio l'auteur de la poésie en voici la traduction :
Voilà
cet instant cruel, Nice,
ma belle Nice, adieu, Comment
vivrais-je, ma bien-aimée, Ainsi,
loin de toi ? Je
vivrai toujours dans la peine, Je
n’aurai plus de joie. Et
toi, qui sait si jamais Tu te souviendras de moi ?
que je vous engage à lire et relire indépendamment de la musique
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va Comme la vie est lente Et comme l'Espérance est violente Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure